Qui suis-je ?

Vous êtes sur le blog personnel de Xela42, qui, comme vous l'aurez deviné n'est qu'un pseudonyme.

Comment me présenter ? Je suis encore étudiant. Plus exactement je prépare une thèse de doctorat à Montréal. Et c'est tout ce que je vous révélerais pour le moment sur ma petite personne. Je me réserve le droit, dans un avenir plus ou moins proche, de donner d'autres informations complémentaires. En dehors de mon travail, je m'intéresse à plusieurs sujets comme l'histoire, la politique, l'économie, les sports, à l'exception notable du "jeu à la baballe sur herbe verte" appelé communément football. Il n'est donc pas rare que j'aborde la voile, voire l'éclectisme [1]... Ne partez pas en courant pour autant.

D'une manière générale, ce blog est un moyen pour moi de m'extirper, quelque peu, de mon quotidien en publiant quelques billets, au gré de mon inspiration, qui parfois, je l'avoue humblement, prend des vacances. Puisqu'on en est à parler du contenu du blog, je vais faire comme à l'école. Tout d'abord le style. Je tiens à préciser que les fautes d'orthographe, de grammaire, de conjugaison, de syntaxe et autres exceptions à la règle de l'accord du participe passé avec le verbe avoir, sont nombreuses. Au cas où certaines d'entre elles vous piqueraient les yeux au point que vous ne puissiez plus rien lire, vous avez l'autorisation de me les signaler en commentaires. Cela vous permettra de vous faire pister par l'une des nombreuses agences d'espionnage américaines, si ce n'est pas déjà le cas.

Maintenant que j'ai parlé de la forme - exécrable selon mon propre jugement et parfois celui des autres - nous pouvons aborder le fond. Attention aux cœurs fragiles sous pacemakers, vous entrez sur un blog tenu par un affreux, que dis-je, un dangereux libéral. Pour le citoyen français que vous êtes cher lecteur, ce mot renvoie à des événements terribles tels que... Je vous laisse compléter par la mention de votre choix. Pour compléter ma précédente assertion, je suis libéral, de tendance autrichienne, même si j'ai un faible pour certains penseurs français comme - l'immense - Frédéric Bastiat.

Voilà pour moi. J'espère que vous passerez un moment agréable à lire ces quelques lignes.

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[1] Comprendre qui pourra.

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